Aubrey Beardsley

Grand et angulaire comme une statue de Giacometti, avec un parfum de scandale et une passion pour les estampes japonaises, Aubrey Beardsley a créé des milliers de dessins avant sa mort à tout juste 25 ans. Comme l’encre noire qu’il utilisait, il a laissé une marque indélébile sur l’art nouveau et les années 1890s.

Avec leurs motifs de fleurs printannières, mais aussi leur noirceur remplie de drame et de grotesque, ses estampes et dessins sont à nouveau dans l’air du temps.

775px-Beardsley-peacockskirt
The Peacock Skirt, 1893

Screen Shot 2020-04-18 at 14.49.05

J’avais prévu d’aller visiter une exposition lui étant consacrée à la Tate Britain. Se voyant fermé pour cause de pandémie, le musée partage avec nous une explication de ses curatrices, ainsi que les notes et images de l’exposition:

Il y a aussi un documentaire sur la BBC.

Tate
The Black Cape 1893
Aubrey_Beardsley_-_Edgar_Poe_1
Illustration for Edgar Allan Poe‘s The Murders in the Rue Morgue, 1894–5
770px-Aubrey_Beardsley_-_The_Climax
The Climax from the illustrations for Salomé, 1893–4
Advertisement

Leave a Reply

Fill in your details below or click an icon to log in:

WordPress.com Logo

You are commenting using your WordPress.com account. Log Out /  Change )

Facebook photo

You are commenting using your Facebook account. Log Out /  Change )

Connecting to %s

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.